C’est, par nostalgie, tenter de retrouver le « moule à tête de veau », la « corde à virer le vent », le charme des Charmilles, la gouaille des mariniers, les bavardages des laveuses sur le bateau-lavoir du père Priou, la poésie d’un notaire, le savoir-faire du ferblantier, l’agilité du couvreur sur le toit de l’église, l’adresse de Joseph Goulais le cordier, la force du puisatier, la digne moustache du Suisse sur la place de l’église…